Deux soldats au bordel

Cette histoire s'est passée il y a une dizaine d'années, pendant mon service militaire dans l'armée belge. Il y avait une douzaine de gars dans notre chambrée, mais j'ai tout de suite sympathisé avec Rudi, le type qui dormait en-dessous de moi (nous dormions sur des lits superposés): 22 ou 23 ans comme moi, cheveux marrons coupés courts, une barbe déjà bien drue, qu'il devait raser tous les jours et une toison de poils bruns frisés sur le torse et en dessous du nombril. Rudi avait de belles jambes musclées ("je joue beaucoup au foot" m'a t il avoué le jour de notre rencontre), avec des mollets bien poilus et de beaux pieds larges et forts, aux ongles propres et coupés court.

Rudi et moi rigolions souvent en faisant les exercices ensemble, ou le soir en buvant une bière. Rudi avait fait des études d'infirmier, et il était profondément intéressé par son métier. Nous nous racontions lers histoires que se racontent les garçons de vingt ans: il avait eu deux petites amies sérieuses (je veux dire qu'il avait couché avec deux filles dans sa vie) qui l'avaient quitté pour des mecs à l'avenir plus prometteur, des fils à papa friqués. Il vivait encore chez ses parents. Moi-même, j'avais couché une ou deux fois avec une fille, mais je ne m'étais pas encore investi dans une relation prolongée.

Rudi et moi sommes vite devenus inséparables, nous n'avions plus de secrets l'un pour l'autre. Tout me plaisais en lui, et même les petits secrets de son intimités: le fait qu'il transpirait vite et beaucoup lors des exercices physiques, qu'il rougissait en parlant aux filles quand nous sortions ensemble le soir de la caserne pour boire un verre, qu'il avait un peu de mal à décalotter complètement en prenant sa douche du matin (sa queue était plus étroite et plus longue que la mienne, terminée par un long prépuce qui recouvrait complètement son gland, et qu'il avait parfois un peu de mal à retrousser complètement. Il me regardait sous la douche l'air un peu gêné, et envieu de ma queue plus courte et plus large, que je décalottait sans peine pour toute la durée de notre douche quotidienne.

Un soir, après avoir bu quelques bières, nous décidâmes d'aller ensemble dans un des bordels de la ville, où les filles recevaient volontiers les soldats deux par deux, à un tarif de faveur. La fille qui nous reçus était un peu plus âgée que nous, avec des cheveux noirs et des yeux brillants. Elle nous ordonna d'un ton autoritaire de nous déshabiller, pendant qu'elle enlevait elle-même les quelques vêtements qu'elle portait. Ses seins étaient volumineux et sa chatte non rasée laissait apercevoir l'ouverture de son con. Rudi se mit de suite à bander dur et se dirigea vers la fille. "arrête, dit elle, je vous donnerai ce que vous voulez, mais je veux d'abord profiter un peu de vous: j'aime voir mes amants prendrte soin l'un de l'autre. Toi, le blond, me lança-t-elle, suce ton copain, je veux qu'il soit propre avant de me pénétrer". Rudi et moi nous regardâmes, l'air effaré. Mais la fille se coucha sur le lit, écarta les jambes et le spectacle de son con béant nous fascina tellement tous les deux, que je m'agenouillai devant mon copain, et m'approchai de sa queue.

La première chose qui me frappa fut l'odeur: je connaisssais l'odeur de Rudi, l'odeur forte de son corps d'homme jeune le matin au lever ou l'après midi après les exercices. Mais quand mon nez s'enfonça dans ses poils pubiens, le mélange d'odeur de sperme, de transpiration et de queue me fit tourner la tête. C'était une des odeurs les plus fortes que j'ai jamais senties et, après le dégout initial, cette odeur m'a vite excité. Les couilles de mon copain étaient gonflées: je savais qu'il ne se masturbait pas souvent, et nous n'avions pas assez d'argent pour nous payer souvent des putes. Lentement, je laissai mon nez descendre le long de ces grosses couilles bien poilues. Leur parfum différait un peu de celui des poils pubiens de Rudi, une odeur d'homme. "vas y, lèche lui bien le gland", cria la fille depuis le lit d'où elle suivait attentivement les opérations. Je saisis la queue de mon copain, et tirai violemment son prépuce vers l'arrière. La dernière douche de Rudi remontait au matin, et il était 22h. Une odeur extrêmement forte d'ammoniac et de poisson m'envahit les narine, mais cette odeur ne me dégoûtait pas. Je lêchai doucement le gros gland violet et gluant, en poussant bien ma langue dans les petits replis que faisait son prépuce derrière. Après quelques mouvements de ma langue, une goutte de pre fuck jus apparu par le méat, et Rudi me repoussa brutalement pour sauter sur la fille, qui lui mit rapidement un préservatif avant qu'il se mette à la pistonner vigoureusement.

J'ai baisé la fille après mon copain, nous sommes rentré à la caserne et nous n'avons plus jamais reparlé de cet incident. Mais depuis lors, je sais que je suis bisexuel.

 

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